Les importations mexicaines de biens d’équipement ont augmenté de 7,06% en glissement trimestriel en mars, accumulant ainsi 11 trimestres consécutifs de croissance en glissement trimestriel, selon Banco Base.
Bien qu’il y ait un retard significatif dans l’investissement fixe brut de 7,06% par rapport à son maximum historique, le retard dans l’investissement en machines et équipements importés par rapport au maximum est de 2,97% et le maximum a été atteint en octobre 2022.
Biens d’équipement
En fait, en janvier, l’investissement en machines et équipements importés montre une croissance de 28,32% par rapport aux niveaux d’avant la pandémie (février 2020).
Crecimiento trimestral de las exportaciones
Sur le plan interne, les importations de biens de consommation affichent un rebond trimestriel de 19,91% après avoir chuté de 16,48% au dernier trimestre 2022.
Enfin, les importations de biens intermédiaires se sont contractées de 1,85% en glissement trimestriel, cumulant trois trimestres consécutifs de baisse, ce qui est un signe négatif pour la production industrielle.
En résumé, au premier trimestre, les importations totales ont augmenté de 1,58% en glissement trimestriel, après avoir chuté de 5,82% au trimestre précédent.
Commerce extérieur
En 2022, le commerce extérieur a affiché un déficit commercial plus important que l’année précédente en raison de la poursuite de la normalisation des chaînes de valeur mondiales, des prix internationaux élevés des matières premières au premier semestre 2022, de la vigueur de la production industrielle américaine au premier semestre 2022 et de la croissance de la demande intérieure tout au long de l’année.
Sur une base ponctuelle, la balance commerciale des marchandises a affiché un déficit commercial de 26,421 milliards d’USD, supérieur au déficit de 10,939 milliards d’USD en 2021.
Ceci est dû au fait que le déficit de la balance pétrolière, à 34,902 millions de dollars, a augmenté de 10,268 millions de dollars par rapport à l’année précédente en raison de l’augmentation annuelle de 37,6 % des importations de pétrole, conséquence des prix élevés de l’essence et du gaz naturel au cours des neuf premiers mois de l’année.
Cela a plus que compensé la croissance moindre des exportations de pétrole, de 34,2% en glissement annuel, due à la baisse du volume des exportations de pétrole brut mexicain.