Aleatica prévoit de poursuivre les activités de construction de l’autoroute à péage Atizapán-Atlacomulco (AT-AT) au troisième trimestre 2023, une fois le processus de refinancement achevé.

Au 31 décembre 2022, 76,45 kilomètres des 77,20 kilomètres de droit de passage avaient été libérés avec des certificats de livraison/réception, laissant 0,75 kilomètre en attente.

Plus tôt, le 26 janvier 2022, la société a signé l’amendement au titre de concession, prolongeant la durée de la concession de 10 années supplémentaires pour une durée totale de 40 ans.

Le projet consiste en un tronçon de 77 kilomètres de route à péage connue sous le nom d’autoroute Atizapán-Atlacomulco, située dans l’État de Mexico.

Aleatica s’est positionnée comme l’opérateur d’infrastructures de transport le plus important du secteur dans la zone métropolitaine de Mexico, à la fois en termes de nombre de concessions attribuées et de nombre de routes à péage gérées.

La société exploite des infrastructures qui couvrent les besoins de transport de base de la population nationale grâce à sept autoroutes situées dans la ville de Mexico, l’État de Mexico et l’État de Puebla, ainsi que l’aéroport international de Toluca.

Autoroute Atizapán-Atlacomulco

Le 25 avril 2014, le gouvernement fédéral, par l’intermédiaire du ministère des Communications et des Transports (SCT), en sa qualité de concédant, a accordé à AT-AT une concession pour la construction, l’exploitation, la conservation et l’entretien de l’autoroute de haute qualité Atizapán-Atlacomulco.

L’autoroute commence au kilomètre 19+620 de l’embranchement de Chiluca, situé au kilomètre 14+500 de l’autoroute Chamapa Lechería, et se termine au kilomètre 100+046 de l’embranchement d’Atlacomulco, situé au confluent de l’autoroute Atlacomulco-Maravatío, du Libramiento Norte de la Ciudad de México et de l’autoroute fédérale Atlacomulco-Palmillas, dans l’État de Mexico.

Le 25 février 2021, le concessionnaire a reçu de la Direction générale du développement des routes la lettre officielle n° 3.4.-068, en vertu de laquelle, entre autres, «l’existence d’un cas de force majeure est reconnue» et «la modification du programme de construction de l’autoroute est autorisée, dans le but de conclure tous les travaux du projet, dans un délai ne dépassant pas 24 mois à compter de la date à laquelle le concessionnaire reçoit physiquement la surface de l’emprise».

Grâce à cette autorisation, le retard dans le programme de construction est éliminé, en raison du retard dans l’obtention du droit de passage nécessaire à la construction du projet.